Cette première année sous la présidence de Marc Solvi a été marquée par toute une série d’initiatives destinées à augmenter la visibilité de l’ALIAI et à en dynamiser les activités.
En 2010, d’importants efforts ont été investis dans la restructuration et la professionnalisation des outils de communication de l’ALIAI. Ainsi la Revue Technique Luxembourgeoise paraît sous un nouveau format plus attractif, s’est dotée d’un site internet hautement informatif et diffuse des Newsletters électroniques hebdomadaires. Parallèlement, le Cahier Scientifique, dédié à des publications scientifiques et techniques spécialisées, a vu le jour. Par ailleurs, l’ALIAI s’investit dans l’organisation de conférences et de voyages autour de sujets d’actualité et d’intérêts spécifiques de l’association. Ces initiatives ont notamment été rendues possibles grâce au soutien de toute une série de partenariats avec le monde industriel, économique et scientifique.
L’année 2010 a aussi été marquée par les travaux de construction et de finissage du nouveau siège de l’ALIAI sis boulevard Grande-Duchesse Charlotte à Luxembourg, dont l’inauguration officielle aura lieu le 7 octobre 2011. Ce nouvel immeuble est appelé à devenir le lieu de rencontre des membres de ALIAI et un endroit qui accueillera des conférences, séminaires et autres échanges de haut niveau dans le domaine des sciences, de l’architecture et du monde industriel. Dans ce contexte, un programme de manifestations prévues à l’automne est en cours d’élaboration.
Au cours de l’Assemblée générale, les différentes associations associées et apparentées ont eu l’occasion de présenter leurs rapports d’activités 2010, en l’occurrence l’Association Luxembourgeoise des Ingénieurs (ALI), l’Ordre des Architectes et Ingénieurs-Conseil (OAI), Technology Managers Luxembourg (tema.lu), l’Association Nationale des Étudiants Ingénieurs Luxembourgeois (ANEIL), l’Association des Coordinateurs Sécurité et Santé (ACSSL), l’Association des Travailleurs Désignés (ATDL) et Luxembourg Senior Consultants (LSC). Tous défendent un objectif commun, à savoir renforcer la place de la science et de la technologie dans la société et promouvoir les métiers respectifs, en particulier celui de l’ingénieur.




